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Les réformes économiques et développement rapide

  

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Depuis le début du 21ème siècle, Azerbaïdjan est devenu le pays dynamique en plein développement et le plus rapide au point de vue économique de l’espace post-soviétique et de la région où elle est située. D’une part la réalisation des projets permettant le transfert des riches ressources de gaz et pétrole du pays dans les marchés mondiaux, en conséquence l’augmentation rapide des revenus de l’Azerbaïdjan, d’autre part la réalisation des réformes succesives dans le sens de diversification économique et la gestion efficace de ces revenus ont très bientôt donné leurs résultats. Dans les dernières années, l’économie de l’Azerbaïdjan a augmenté jusqu’à 300%  c’est-à-dire 3 fois. Selon les données du début de 2012, le volume des réserves en devise du pays a dépassé 40 milliards de dollars. En même temps, l’importance du secteur non pétrolier de l’économie n’a cessé de croître et le risque de dépendance de l’économie azerbaïdjanais au pétrole a été éliminé. Une fois que les revenus pétroliers importants sont entrés en Azerbaïdjan par un certain nombre d’experts locaux et étrangers, les prévisions faites au sujet du « syndrome hollandais » qui pourrait survivre en économie ont été échoué. A l’heure actuelle, Azerbaïdjan est passé d’un pays ayant besoin aux investissements étrangers en un pays mettant de gros investissements dans la région où elle est située, ainsi qu’à l’extérieur. 

Taux de croissance de PIB
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Depuis 1995, l’accroissement durable du Produit Interne Brut (PIB) a commencé en Azerbaïdjan. D’après les données sur les indicateurs macroéconomiques du comité des statistiques d’état, dans les années 1995-2003 la croissance moyenne annuelle du PIB a augmenté 9%, le PIB par habitant a augmenté 3 fois et le salaire moyen mensuel a augmenté 5.3 fois. Les investissements étrangers ont augmenté 10 fois, les investissements nationaux ont augmenté 5 fois, les revenus budgétaires ont augmenté 3 fois et le déficit budgétaire s’est baissé à la limite minimale. Jusqu’en 2003,la part du secteur privé dans le PIB a augmenté jusqu’à 73%. 
Donc, encore une fois, selon les statistiques officielles dans les années 2004-2011 le PIB, en moyenne a augmenté 14% en Azerbaïdjan et au secteur non pétrolier, il a augmenté 9%. Pendant cette période, dans le pays le PIB par habitant a augmenté 5 fois et la part du secteur privé dans le PIB a augmenté 81.7%. La dette extérieure par rapport au PIB a baissé de 18% jusqu’à 7 %. Les réserves des valeurs stratégiques ont dépassé 40 milliards de dollars qui est 8 fois plus que la capacité de la dette extérieure. Pendant cette période, les investissements mis en Azerbaïdjan ont augmenté 2.4 fois dont parmi eux, 1.5% est l’investissement étranger et 5.5% est l’investissement interne. A cette époque, les revenus budgétaires ont augmenté en moyenne 24% par an et le déficit budgétaire est actuellement à un niveau faible de 1%. Dans les 2 dernières années, la tendance de croissance du PIB du secteur non pétrolier par rapport au PIB du secteur pétrolier a été observé. Dans ses discours, le président a souligné maintes fois la protection de cette tendance et l’a indiqué en tant que position stratégique du gouvernement.  Grâce aux réformes économiques menées parallèlement à l’entrée de gros revenus pétroliers dans le pays, la gestion et orientation efficace de l’argent de pétrole, Azerbaïdjan était sur la liste des leaders mondiaux dans les années 2005-2007 pour le taux de croissance annuelle du PIB : une augmentation du PIB de 26.4% en 2005, un record de 34.5% en 2006 et 25% en 2007 ont été enregistré. Malgré la crise financière et économique mondiale du 2008, l’économie de l’Azerbaïdjan ne se retardait pas. Cette année-là, le PIB a augmenté 10.8%. 

Réformes et diversifications économiques
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La tendance de la croissance durable de l’économie de l’Azerbaïdjan a connu des croissances rapides avec des grands revenus pétroliers entrés dans le pays après le fonctionnement définitif de l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Jeyhan au mois de juillet 2006. A cette époque, après le fonctionnement de ce pipeline qui transférrait chaque jour un million de barils de pétrole aux marchés mondiaux, la gestion efficace des revenus de la grande quantité entrés en Azerbaïdjan était un problème d’une importance suffisante du pays. Les réformes économiques débutées par le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev sur le développement du secteur non pétrolier, des entreprises petites et moyennes, des régions et de l’agriculture ( des programmes d’état sur les domaines pertinents, les ordres et règlements du président) avant l’entrée des revenus pétroliers dans le pays, des programmes visant la diversification économique ont permis de résourdre successivement ce problème. 
Dans une très courte période, seulement dans quelques années Azerbaïdjan a pu baisser au minimum l’indépendance de l’économie aux revenus pétroliers. D’une part il y a eu la croissance rapide de l’économie du pays, d’autre part on a réalisé des programmes visant le développement du secteur non pétrolier, la libéralisation de l’économie, la soutenance des activités des petites et moyennes entreprises ainsi que le développement des régions. A cette fin, des décrets et ordres visant le développement du secteur non pétrolier ont été successivement donnés par le chef d’état, des lois et décisions ont été prises. 

Le pays sur le plan des rapports économiques internationaux.
Les réformes économiques menées en Azerbaïdjan, la politique économique réussite visant le développement du secteur non pétrolier ont été enregistré par les organisations internationales influentes. En 2009, selon les raiting de « Doing Business » préparé chaque année par la Banque mondiale et la socitété financière internationale, Azerbaïdjan est connu comme l’un des pays obtenus des résultats les plus performantes dans le domaine de mener business parmi les pays mondiaux. Azerbaïdjan a atteint une croissance importante de 7 sur 10 points d’évaluation du rapport et en comparaison avec « Doing Business 2008 », en « Doing Business 2009 » a amélioré ses positions par rapport aux autres pays. Selon le rapport, Azerbaïdjan était le leader parmi les pays entreprenant des réformes économiques. Azerbaïdjan est aussi l’un des pays principal parmi les ex-républiques soviétiques dans le raiting concurentiel économique du Forum économique mondiale (WEF - World Economic Forum), entourant les 142 pays mondiaux pour les années 2011-2012. Par rapport à 2010, Azerbaïdjan s’est avancé de 2 marches dans ce raiting et s’est placé dans le 55ème rang. Parmi les anciennes républiques soviétiques, elle a obtenu le 3ème rang après l’Estonie et la Lituanie et a pris la première place parmi les pays de la région et de CEI.  Le raiting concurentiel économique des pays du Forum économique mondial est basé sur la perfection des institutions de marché, la stabilité macro-économique, le développement technologique, le niveau de l’éducation et la santé et sur d’autres critères. 

L’économie de l’Azerbaïdjan fait partie de 75-80% de l’économie du Sud Caucase. 
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Le gouvernement réalise une stratégie délibérée visant la mise en place du développement de l’économie sur le secteur non pétrolier et mène une politique visant à garder la production pétrolière sur un rythme stabile. Ainsi, la protection des ressources pour les futures générations et l’accélération du rythme du développement dans le secteur non pétrolier se réalisent.
Au début de 2012, le président azerbaïdjanais a demandé au gouvernement d’augmenter 2 fois le PIB dans les 10 prochaines années. Cette augmentation doit être fournie par le secteur non pétrolier. Selon les prognostiques, dans les 3 prochaines années la croissance du PIB du secteur non pétrolier sera en moyenne 8%  par an. En 2015, la politique économique réuissite pour la diversification de l’économie en Azerbaïdjan conduira la part du secteur pétrolier en PIB en une diminution de 48.5% à 29.3% . En conséquence, en 2015 la part du secteur non pétrolier en PIB se passera de 44.4% à 61.3%. Aujourd’hui l’économie de l’Azerbaïdjan fait partie de 75-80% de l’économie du Sud Caucase. 

L’augmentation des réserves de devises.
Les réserves stratégiques de devises du pays augmentent paralèllement au développement économique rapide. Selon les chiffres de 2012, les réserves de devises officielles qui sont à la disposition de la Banque centrale sont à peu près 11 milliards de dollars. Selon les prognstiques, en 2012 ces réserves augmenteront encore de 3 milliards de dollars. Avec les ressources du Fonds pétrolier de l’état, les réserves stratégiques de devises de l’Azerbaïdjan ont atteint 42 milliards de dollars. On estime qu’au cours de 10 prochaines années, les réserves de devises du pays devraient atteindre 100 milliards de dollars. 

Azerbaïdjan en tant qu’un pays investisseur.
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La capacité des investissements mis dans l’économie de l’Azerbaïdjan au cours de 15 dernières années est plus de 100 milliards de dollars. Sa partie importante est composée des investissements internes. Toutefois, Azerbaïdjan est maintenant un pays qui met des investissements importants à l’extérieur du pays. En même temps, Azerbaïdjan est en train de devenir d’un pays emprunteur en un pays prêteur. Dans ces dernières années, Azerbaïdjan a mit des investissements importants dans plusieurs pays y compris la Russie, Bélarus, Ukraine, Moldovie, Géorgie, Turquie par la voie du secteur privé et d’état. La mise en place des investissements dans les pays étrangers est réalisée par la voie de la Société Pétrlière d’Etat de la République d’Azerbaïdjan. Les investissements mis en Turquie par les entrepreneurs Azerbaïdjanais sont 5 milliards de dollars. SOCAR est en train de mettre des investissements importants des milliards de dollars dans ce pays. Azerbaïdjan est un des pays qui met des investissements importants dans l’économie de la Géorgie. Ceci occupe une place importante dans le secteur d’énergie et de gaz-pétrole de ce pays. Par exemple, actuellement 75% de marché de vente dispersé des produits pétroliers en Géorgie est sous le contrôle de SOCAR. La part de marché de vente de gaz atteint 90% .La géographie des pays dont l’Azerbaïdjan met des investissement s’élargit rapidement. On met des investissements importants en Suisse, à Kirghizistan et aux Emirats arabes unis par la voie de SOCAR. Le secteur privé occupe sa place dans les marchés immobiliers, tourisme, construction de l’Europe orientale, Europe occidentale et les pays de péninsule balkanique. Dans les dernières années, l’Azerbaïdjan a aussi donné les prêts importants aux pays de la région possèdant des intérêts stratégiques économiques. A la suite de ces succès économiques, Azerbaïdjan renforce sa position de pays leader dans la région et en même temps devient un pays ayant le pouvoir de la parole en dehors de la région. Actuellement, grâce à son forte économie, Azerbaïdjan est l’un des pays importants du couloir de la Grande Route de Soie reliant l’Europe et l’Asie. 



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