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Sur la littérature d’Azerbaïdjan

  

L’ancienne littérature d’Azerbaïdjan
La copie la plus ancienne de la littérature écrite d’Azerbaïdjan s’est apparu en temps de l’Etat Mède (Midiya) à VIème siècle avant Jésus-Christ (VII-VIème siècles avant J.-C.), son auteur est « Avesta », considéré le prophète Zoroastre. Ici les imaginations, sur la lutte de bien contre mal de l’homme primitif, le point de vue des anciens turcs d’Azerbaïdjan de la Population d’Azerbaïdjan, ont trouvés leurs reflets artistiques. Légende de Dede Korkut, s’appuyant sur le point de vue ancien mythologique est créé dans les siècles IV-V et écrite sous le nom de « Kitabi Dede Korkut » à XIème siècle. Les copies connues sont des manuscrits transmis à XVIème siècle. Selon Friedrich fon Ditsin, orientaliste allemande, qui a recherché cet œuvre de l’art pour la première fois, certains sujets mythologiques ici ont causé à la formation de certains sujets pareils créés à Grèce ancien Tepegöz-Siklop). La littérature albanaise né sur le territoire d’Azerbaïdjan et dont l’écriture est arrivé à XIVème siècle peut aussi être considéré parmi les sources de notre littérature classique écrite. Par exemple le lamento avoué à Alp Er Tonga. Les poèmes d’Ebu Muhammed İbn. Beşşar, de Musa Şehevat et d’İsmail İbn Yesar, les poètes d’origine azerbaïdjanais, qui ont écrit en arabe aux VII-VIIIème siècles, étaient un peu différents de la poésie arabe de l’époque par certaines particularités de l’art original et l’esprit critique. La tradition d’écrire des œuvres artistiques en arabe a continué jusqu’aux XI-XIIème siècles au travers des poètes Azerbaïdjanais, les artistes comme Hatip Tebrizi et Mesut bin Namdar ont créé des exemplaires artistiques enrichissant la littérature d’Azerbaïdjan en cette langue. A partir de XIème siècle, l’école de poème d’Azerbaïdjan est entrée à un nouveau développement tout en ne pas utilisant la langue persique (la langue dari) avec la créativité de Getran Tebrizi (1012-1088). En 1054 la fondation de l’Etat de seldjoukides par les turcs d’Oghuz en Azerbaïdjan contribuant au développement de la science, de l’art et de la littérature, a aussi accompli la constitution de peuple d’Azerbaïdjan parlant la langue turque. Dans les œuvres de Getran Tebrizi, un des poètes le plus grand d’Azerbaïdjan à XIème siècle, a mis les marques profondes de plusieurs mots et sens spécifiques à la langue turque d’Azerbaïdjan et à l’esprit d’Azerbaïdjan-Turc. Le Poète s’est démarché par fois à sa langue maternelle quand il est forcé à trouver la rime en arabe et persan. A XIIème siècle la littérature d’Azerbaïdjan a accompli sa propre constitution de l’école de poème, ce qui a ultérieurement influencé la littérature de Moyen et Proche Orient et également celle du monde et les figures de proue à l’échelle mondiale comme Hagani Şirvani, Nizami Gencevi sont venus. A XIIème siècle Ebu’l-üla Gencevi (1096-1159), Mehseti Gencevi (1089-1183), Feleki Şirvani (1126-1160), Mücireddin Beylegani (? -1190)  ont vécus et créés à l’anxiété des Chirvanchahs te Atabeys, les états d’Azerbaïdjan. 

Littérature d’Azerbaïdjan de Moyen Age
A partir de XIIIème siècle jusqu’à la période courante, le nombre des poètes et artistes écrivant dans la langue dogme à la littérature écrite d’Azerbaïdjan, constitué essentiellement des langues arabe et persan sur le territoire d’Azerbaïdjan sous effet de la réalité d’histoire objectif, augmente de plus en plus. A cette époque la période ancienne de la littérature d’Azerbaïdjan est finie et la période de moyen âge a commencé.  Les poètes lyriques comme İzzeddin Hesenoğlu et Şeyh Sefieddin Erdebili donnent priorité d’écrire les exemplaires d’histoire poétique sur la vie animé sur les quatrains lyrique et épique contenant les pensées soufi-mystique comme dans les autres peuples voisins. Trois gazelles écrites en turc de Hesenoğlu, et un petit divan de Şeyp Sefi constituent une idée formée sur la Littérature de langue maternelle de cette époque, elles signalent que les fondements de la grande poésie prochaine sont posées très solides. Hümam Tebrizi (1201-1314), un poète d’Azerbaïdjan de sud, occupé de la créativité pendant un longue période et vécu les premières décades de XIVème siècle et la totalité de XIIIème siècle, était également l’homme d’état important et un des poètes talentueux de cette période. Sur plusieurs œuvres versifiés et écrit prosaïquement par Şeyh Mahmud Şebüsterin (1287-1320), connu plutôt comme représentant important de courant (école) mystique à la Littérature d’Azerbaïdjan, histoire versifié de « Gülşeni-raz » est plus remarquable.  A XIVème siècle les poètes azerbaïdjanais comme Suli Fakih et Mustafa Zerir, ont aussi créés des œuvres en langue maternelle au sujet de « Yusuf et Züleyha » fondé sur les motifs de Sait Coran. L’histoire en vers de « Verga et Gülşa » de Yusuf Meddah, l’artiste de même siècle, peut aussi être comptée un des belles exemplaires de la poésie épique de langue maternelle. 
Les poètes et penseurs célèbres d’Azerbaïdjan qui ont écrit en persan, comme Nasiruddin Tusi (1201-1274), Marağalı Övhedi (1274-1338), Arif Erdebili (1311-) se sont appuyés plutôt sur leurs traditions régulières. Nasiraddin Tusi, écrivain d’un œuvre didactique et morale fondé comme « Ethique-Prosaïque » a également des œuvres littéraires-artistiques, à côté de son héritage scientifique-philosophique. Eduard Braun, orientaliste anglaise, a publié la créativité de Gazi Burhaneddin, souverain et poète de XIVème siècle (1314-1398) le premier exemplaire de poème laïque à la littérature turque et il l’a évalué supérieur. La langue turque artistique d’Azerbaïdjan, qui a commencé de se former, à la créativité de Hesenoğlu et Şeyh Sefi, est arrivée à la phase supérieure  à « Divan » de Gazi Burhaneddin. A la créativité de Gazi Burhaneddin, on a utilisé pour la première fois, les tuyugs, un des genres poétiques exclusivement turc. A cette époque, les principes d’humanisme, constitué à la vue sociopolitique et la littérature, sont arrivés à leur sommet notamment à la création de Seyyid İmadeddin Nesimi (1369-1417). XVème siècle est une étape de passage au travers des sommets de Hatai et Füzuli avec les sommets de Gazi et Nesimi au point de vu artistique et chronologique à la littérature d’Azerbaïdjan, c\'est-à-dire il est un lien qui les dépend. Les artistes qui ont généralement écrit en langue turque d’Azerbaïdjan, la langue maternelle comme Halili, Hamidi, Kişverî, Hakiki, Süruri et plutôt en langue persan comme Şah Kasim Envar, Bedir Şirvani déterminaient la perspective de ce siècle. Parmi ces poètes il faut souligner le nom de Cahanşah Hakiki, le souverain de Karakoyunlu (les années de souveraineté 1436-1467). Un des plus importants représentants de la littérature d’Azerbaïdjan de XVème siècle était Nimetullah Kişverî. Utilisant des caractères poétiques originaux dans le domaine de la langue poétique Kişverî tient une position incomparable. La créativité des poètes de cette période comme Hebibi, Şah, Kasim, Süruri, a joué le rôle d’un fondement-sol considérable dans la constitution de poésie de Hatai et Füzuli. Avec la littérature d’Azerbaïdjan de XVème siècle, la langue littéraire d’Azerbaïdjan, étant commun sous plusieurs points de vu avec la langue parlée et littéraire des autres peuples turcs, jusqu’à maintenant,  possède ses particularités différentielles et à partir de XVIème siècle ses traditions étant une littérature indépendante. En particulière le milieu  littéraire de Bagdad de XVIème siècle, on peut différentier avec le grand effet qu’il a montré sur le développement de poésie nationale. Sur « Gülşeni-şüera (Gülşen des poètes)» d’Eski Bağdâdî, mémorialiste de XVIème siècle et sur les mémoires de « Mecmeul-hevas (Conseil des choisis) » de Sadık bey Sittiki, libraire de Şah Abbas on parle de certains poètes élevés au milieu littéraire de Bagdad de l’époque, on ne peut pas dénier leurs rôle considérable sur la formation de Génie de Füzuli. Le sommet d’après Nizami des pensés de renaissance (éveil) dans la littérature d’Azerbaïdjan des XII-XVIème siècles – est Muhammed Füzuli, qui est connu comme « poète de cœur » à l’orientalisme occidentale. Fuzuli est un des artistes poètes lu admiré jusqu’à maintenant non seulement en Azerbaïdjan mais aussi sur un endroit vaste géographique-ethnique où la langue turque, en particulière celle d’oghuz est compris. Les œuvres de Fuzuli sont populaires jusqu’à maintenant en Irak, en Turquie, en Tatarstan, en Ouzbékistan, en Turkménistan, les turcs l’aiment et ils lisent et apprennent ses œuvres. Il faut le préciser que l’art de Fuzuli n’est pas existé d’une façon sans fondement et sans essence, dans sa constitution la créativité des artistes poètes magnifiques a contribué dans un fuseau horaire complet. Au travers de ces derniers le grand modern et son assistant heyriyyeci, grand homme d’état d’Azerbaïdjan et poète Şah İsmail Hatai (1487-1524) a un lieu important. Şah İsmail Hatayi a joué un rôle important dans l’histoire sociopolitique d’Azerbaïdjan. Il est initiateur d’une famille. Hatai, un poète-souverain, a continué et développé les traditions poétiques de Gazi Burhaneddin et Mirza Cahanşah, ses prédécesseurs, il a même fondé un nouvel état magnifique d’Azerbaïdjan, au long de sa courte vie de trente six ans au total et il l’a développé, ainsi il a joué un rôle exceptionnel dans le développement de langue maternelle de la littérature tout en déclarant la langue turque d’Azerbaïdjan comme, la langue officielle. Les siècles de XVI-XVII sont connus comme la période de constitution des épopées d’amour et d’héroïsme de moyen âge à la littérature d’Azerbaïdjan. On peut observer le succès que Fuzuli a eu par la poésie écrite sur la création des représentants comme Gurbani, Aşık Abbas Tufarganlı, Hasta Kasım de la création populaire verbale. Les épopées parfaites d’amour comme « Aşık Garip », « Abbas et Gülgez », « Aslı et Kerem », et l’épopée d’héroïsme de « Köroğlu » poursuivant digne de « Kitab-ı Dedem Korkut » sont aussi créés à cette période et ils sont observés dans les répertoires des troubadours et artistes folkloriques. 
Dans les XVII-XVIIIème siècles la Littérature d’Azerbaïdjan s’approche en plus à la vie animé et la langue publique sous l’effet des œuvres de troubadours-ozan, les représentants de la créativité verbale populaire, ainsi les fondements de la période de passage à la réalité dans la poésie d’Azerbaïdjan sont posés. Malgré les traditions de Fuzuli sont encore assez fortes à la poésie de l’époque, les entreprises d’être sauvé de cette attraction sont observés dans la créativité des artistes comme Saib Tebrizî, Gövsi Tebrizî. A XVIIIème siècle on peut observer que sur les œuvres de Şakir, Nişat et Mehcur, les poètes élevés de milieu littéraire de Şirvan on parle plutôt des problèmes concrets misères de la période et l’expression artistique de dérangement de peuple simple de leur vie en difficulté. Les artistes comme Molla Veli Vidadi (1707-1808), en particulière Molla Penah Vagif (1717-1797) ont approché le poème au peuple un peu plus avec leurs œuvres, écrites en une langue simple et animé. Vagif a été l’homme magnifique de politique de son époque, il a déterminé la politique extérieure de Khanat de Karabakh pour long tems. XVIIIème siècle porte la particularité et la nature de passage comme la fin de moyen âge et le début de nouvelle période à la littérature d’Azerbaïdjan. 

Littérature Azerbaidjanaise des 19ème et 20ème siècles
Dans les premières décennies du 19ème siècle, à cause de l’évènement important subit dans le destin historique des peuples sous le règne des turcs Azerbaidjanais et en général de la famille de Gacar – de l’invasion d’un part des terrains de la République d’Azerbaïdjan d’aujourd’hui, de l’Arménie et de Nakhitchevan qui comprenaient une certaine frontière par l’Empire Russe, les tendances de l’armes passées de la Russie ont fortifiées dans la littérature comme dans la culture. A cause de cette influence, les motifs nationaux, réalistes et matériels dans la littérature sont montés à un grade important. Molla Penah a déterminé la direction du développement poétique pour longtemps en étant élevé comme le représentant de Kasım Bey Zakir (1784 – 1857), maitre satirique critique réaliste, sous l’influence directe de la créativité de Vagif dans l’environnement littéraire de Karabağ. Cependant, dans la créativité de G. B. Zakir et dans les œuvres des  poètes de son temps, les traditions de Fuzuli continuent à exister dans un nouveau niveau. Les représentants les plus grands de cette période sont Seyyid Ebülgasım Nebati (1812 - 1873), Heyran Hanım (1786 - 1838) au Sud, Seyid Ezim Şirvani (1835 - 1888), Hurşudbanu Natevan (1830 - 1897) t Fatma Hanım Kemine olurlar (1840 - 1888) au Nord. Dans cette époque, parmi les poètes et les auteurs artistes qui connaissaient bien les orientalistes et poètes de l’Ouest et Russes et qui leur consultaient pour avis humanistes et pionniers, on peut citer Abbasgulu ağa Bakıhanovu (1794 - 1847), Mirza Şefi Vazehi (1792 - 1852), İsmail Bey Gutgaşınlını (1801 - 1861).  Les opinions éducatives et réalistes de Mirze Feteli Ahundzade (1812 – 1878) ont joué un grand rôle dans le développement de la littérature et étaient la raison la plus forte dans l’adaptation des genres contemporains de l’Ouest de drame, roman, conte, nouvelle, essai, les contes en poème…etc. à la littérature Azerbaidjanaise. L’aspect de développement littéraire – esthétique que Mirze Feteli Ahundzade a proposé pour la culture Azerbaidjanaise a causé à la naissance des vies littéraires des artistes éducatifs – réalistes comme Seyid Ezim Şirvani (1835-1888), Necef bey Vezirov (1854-1926), Abdurrahim bey Hagverdiyev (1870-1933) et à servir à l’ascension littéraire – culturelle de non seulement de l’Azerbaïdjan mais aussi celle des peuples voisines. En particulier le journal multilatéral « Ekinçi » (1875 – 1877) qu’un académicien naturaliste comme Hasan Bey Zerdabi (1837 – 1907) publiait a contribuait au développement de la vie littéraire – culturelle dans cette époque. Dans la littérature Azerbaidjanaise du 19ème siècle, la poésie religieuse et didactique se développait ainsi que la tendance éducative – réaliste. Les vrais représentants de ce courant qui vivaient en Azerbaïdjan du Sud étaient Raci, Dilsuz, Dahil, Gumri…etc. Mais les poètes et les auteurs du Sud sous l’influence de la période littéraire pionnière du Nord aussi avaient la tendance de créer des œuvres matérielles. Une discipline de la littérature au 19ème siècle qui avait tendance de la créativité de l’Orient a commencé à se développer dans les assemblées littéraires. Le président de l’assemblée littéraire « Gülüstan » à Guba était Abbasgulu ağa Bakıhanov Kudsî, celui de « Encümeni – şüera » (Assemblée des poètes) était Fegir Ordubadi, celui de « Fövcül – füseha » (Equipe de bien parlants) à Lenkeran était Mirze İsmail Gasir, celui de « Beytüs – Safa » (Maison de Remédie) à Şamahı était Seyyid Azim Şirvani, celui de « Mecmeüş – şüera » (Collection des Poètes) à Bakou était Muhammed ağa Cümri, celui de « Divan – hikmet » à Gence (à Tbilissi après) était Mirza Şefi Vazeh, celui de « Meclisi – üns », l’assemblée poétique était Hurşudbanu Natevan, et celui de « Meclisi – feramuşan » (Assemblée des oubliés) était Mir Muhsin Nevvab. La littérature du 19ème siècle a généralement préparé un fondement fort pour la transition au 20ème siècle qui était considéré un nouveau niveau haut de la littérature Azerbaidjanaise. Comme plusieurs peuples qui vivaient dans les terrains envahis par l’Empire Russe, les premières décennies du 20ème siècle constituent un niveau spécial dans la vie littéraire – culturelle de l’Azerbaïdjan. Dans cette époque, les représentants importants de la littérature dont la base était réaliste et romantique Celil Memmedkuluzade (1866 - 1932), Mirza Alekber Sabir (1862 - 1911), Hüseyin Cavit (1884 - 1944), Muhammed Hadi (1880 - 1920), Abbas Sıhhat (1874 - 1918), Abdullah Saik (1881-1959), Neriman Nerimanov (1870 - 1925), Abdurrahim bey Hagverdiyev (1870 -1933) ont pu faire monter la littérature Azerbaidjanaise au niveau des exemples les plus beaux de la pensée mondiale littéraire culturelle avec leurs créativités. Le fait que le peuple Azerbaidjanais – turc a fondé la République Démocratique d’Azerbaïdjan entre les années 18 – 20 du 20ème siècle était l’évènement le plus important de cette époque ainsi que de l’histoire de ce pays (1918 – 1920). Bien que l’époque de RDA a durée pendant 23 mois en total, dans cette époque courte l’environnement littéraire était libre et créatif et a pu produire des produits particuliers. Les auteurs connus comme Celil Memmedkuluzade, Abdullah Saik, Ebdülrehim bey Hagverdiyev, Üzeyir Hacıbeyovla et jeunes auteurs d’aujourd’hui comme Cafer Capparlı, Ahmet Cevat, Ümmügülsüm ont écrit des œuvres intéressantes. Dans ces œuvres, on a écrit et loué avec grande ambition et grande amour l’indépendance de l’Azerbaïdjan, les victoires de l’armée turque de l’Empire Ottoman qui était venu dans notre pays pour sauver les turcs azerbaidjanais du génocide Arménien, la bravoure des soldats Azerbaidjanais et le drapeau national à 3 couleurs. Ahmet Cevat (1892 – 1937) qui s’est distingué pour son activité spéciale dans ce domaine a écrit le texte de l’hymne national d’état de la Première République. Cette œuvre dont la musique a été composée par le génie Üzeyir bey Hacıbeyli est aujourd’hui considérée l’hymne national d’état de la République d’Azerbaïdjan indépendante.

Littérature d’Azerbaïdjan pendant la période soviétique (jusqu’à les années 60)
La dramaturgie de la période soviétique est généralement concernée avec les noms Mirza İbrahimov, Samet Vurgun, Sabit Rahman, Enver Memmedhanlı, İlyas Efendiyev, Şıheli Gurbanov et les autres noms importants.  Ahmet Cevat (1892-1937) et Mikayıl Müşfik (1908-1938) sont considérés comme pionniers du poète d’Azerbaïdjan au XXème siècle. Süleyman Rüstem (1906-1989) et Aliağa Vahid (1895-1965) sont des poètes ayant les grandes contributions pour le développement de la littérature lyrique. Les histories en vers et les poèmes écrits en type libre par Resul Rıza\' (1910-1981) ont joué un rôle important pour le développement de la pensée lyrique d’Azerbaïdjan dans la période soviétique. Il n’est pas possible d’ignorer les importants rôles des poètes de l’Azerbaïdjan du sud comme Memmedhüseyn Şehriyar, Habib Sahir, Hamit Nutku, Bulut Garaçorlu (Sehend). Les autres poètes qui a largement contribué au développement de la littérature d’Azerbaïdjan sont comme suivants: Mehmmed Said Ordubadi, Yusuf Vezir Çemenzeminli, Ali Veliyev, Mir Celal, Süleyman Rahimov, Mehdi Hüseyin, Hüseyin İbrahimov, Hüseyin Abbaszade, Bayram Bayramov, Cemil Elibeyov, Vidadi Babanlı, Manaf Sülemanov, Eleviyye Babayeva, Süleyman Veliyev, Ezize Ahmedova, Afgan Askerov, Gülhüseyn Hüseynoğlu, Elibala Hacızade, Salam Gedirzade, Cengiz Hüseynov, Enver Memmedhanlı etc.

Littérature d’Azerbaïdjan en nouvelle période (à partir des années 60 à nos jours)
A la suite de la modération de l’atmosphère politique, sociale et globale à partir des années 60 et l’affaiblissement des cercles et idéologies dans l’URRS, les jeunes talents se trouvant dans le domaine de la création artistique ont commence à écrire les œuvres critiquant la structure politique. Ces auteurs et poètes sont comme suivants İsa Hüseynov, Mehmet Araz, Sabir Ahmetov, Anar, Ekrem Eylisli, Elçin, Sabir Rüstemhanlı, Alekber Salahzade, Ferman Kerimzade, Maksud İbrahimbeyov, Rüstem İbrahimbeyov, Mevlut Süleymanlı, Yusuf Semedoğlu, İsi Melikzade etc. Ce mouvement commencé dans le domaine de la littérature pour la liberté des paroles et de l’expression, la liberté des pensées politiques, le pluralisme, l’Independence nationale, la justice sociale a fait continuer dans les années 70-90. En conséquence, ce mouvement a permit aux ces artistes de réaliser leurs propres objectifs sur le future après que l’Azerbaïdjan ait obtenu son Independence politique.  Les pages éducatives de l’histoire populaire et les vies lyriques et psychologiques sont aussi en majorité dans les poèmes et la dramaturgie des artistes comme Bahtiyar Vahabzade (1925), Nebi Hazri (1924), Neriman Hasanzade (1931). Ces poèmes et plusieurs autres œuvres appartenant aux artistes comme  Kabil, Enver Elibeyli, İslam Seferli, Adil Babayev, Hüseyin Arif, Kasım Kasımzade, Aliağa Kürçaylı sont les exemples les plus précieux dans la littérature d’Azerbaïdjan. Il y a aussi une ancienne tradition dans la littérature – la tradition de créer la culture nationale en une autre langue. Il est possible de voir cette tradition dans les activités des artistes qui écrivent et créent en russe comme İmran Gasımov, Maksud İbrahimbeyov, Rüstem İbrahimbeyov, Cengiz Abdullayev, Cengiz Hüseynov, Vladimir Gafarov, Vahid Memmedli, Natik Resulzade, Alla Ahundova etc. Ses œuvres qui sont publiées à Bakou, à Moscou et dans les pays européens sont les exemples précieux qui enrichissent la culture nationale et élargissent le domaine d’intérêt. Les poètes qui ont préparé une base et un environnement artistique pour le nouvelle étape de la littérature d’Azerbaïdjan et qui ont prix un rôle actif pendant ce processus sont comme suivants: Ali Kerim (1931-1969), Halil Rıza Ulutürk (1932-1994), Cabir Novruz (1933-2002), Fikret Sadık (1930), Mehmet Aras ( 1933-2004), Famil Mehdi (1934-2002), Tofik Bayram (1934-1991), İlyas Taptık (1934), Fikret Koca (1935), Musa Yakup (1937), Mehmet İsmail (1939), Vagif Semetoğlu (1939) , Arif Abdullazade (1940-2002), Elekber Salahzade (1941), İsa İsmayılzade (1941), Cengiz Alioğlu (1944), Nusret Kesemenli (1946-2001), Ramiz Rövşen (1946), Sabir Rüstemhanlı (1946), Vagif Bayatlı Öner (Oder) (1949), Zelimhan Yakup (1950) etc. Après que l’Azerbaïdjan ait gagné son indépendance, l’histoire des idées universelles comme la libération des territoires occupés, l’humanisme, la justice sociale etc. a pris leur place dans la littérature moderne. 
Même si les principales tendances du développement de la littérature d’Azerbaïdjan sont actuellement basées sur l’expression et la défense sur l’affaire de nationalisme azerbaidjanais, les tendances modernistes et postmodernistes s’existent aussi dans la littérature.  Les histoires «Üvey», «Çevrilme» d’Orhan Fikretoğlu, l’œuvre, «l’homme du troisième jour » (povest), les histoires de Maksed Nur («Rüzgarlı şehir», «Ero-hijyenik», «Katastofikler», «Rütubet sevgileri»), le roman de Sadık Elcanlı («Zülmet), les œuvres de Mübariz Ceferli (« Berpaçı «,» Şahid tren «,» Uydurma «,» Benna») sont les plus beaux exemples pour le modernisme. Comme les exemples pour le postmodernisme, on peut montrer les œuvres de Kemal Abdullah («Yarım yazma «,» les romans de “la rivière des magiciens» et l’essai historique etc.). Dans les derniers dix ans, le nombre des œuvres ayant un esprit moderniste dans le poème d’Azerbaïdjan a aussi augmenté. 



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